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Saint-Nicolas en Allemagne : une matinée pleine de surprises

6 Déc 2025 | Uncategorized

Enfin un jour où je pus donner libre cours à mon sommeil ! 

Aujourd’hui était un jour très particulier en Allemagne : la Saint Nicolas ! Une fête, qui ressemble à Noël, et où nous nous offrons des cadeaux. La veille, nous avions tous déposé notre chaussure gauche sur le palier. Quelle fut ma surprise de découvrir cette tradition ! À mon réveil, nous sommes donc allés voir, si des cadeaux nous attendaient, sur le seuil de la porte. Ma surprise s’amplifia quand je découvris une tonne de paquets ! Honnêtement, je ne savais pas comment réagir. Tant de cadeaux m’étaient offerts. La générosité et gentillesse des offreurs étaient si grandes ! – Quelle aurait été votre réaction, vous ? – Nous prîmes chacun les cadeaux qui nous étaient destinés, nous dirigeâmes vers le salon, où nous prîmes place afin de découvrir enfin ce qu’il se trouvait sous le papier cadeau. Je commençai alors à déballer, chaque cadeau, un à un. Chacun d’entre eux me fit de plus en plus sourire. Je n’ai compté le nombre de fois où j’ai remercié la famille pour toutes ces surprises ! Toutes ces émotions m’avaient cependant creusée. Je pris donc mon petit déjeuner avec ma correspondante, Friederike, sa mère, Bettina, son père, Martin, ainsi que son frère, Konstantin. Le petit déjeuner était gigantesque par rapport aux autres jours. Que j’aime le week-end ! Ensuite, eut lieu un moment cuisine : nous avions, la veille, fait de la pâte à sablés, et il nous restait encore à les confectionner, choisir leur forme… Cela nous prit beaucoup plus de temps que nous eûmes pensé ! – À votre avis ? Combien de minutes ? Combien d’heures ? 

Vers treize, je partis avec Friederike et son père, afin de l’accompagner à son cours d’équitation. Cependant, il y faisait froid, et les sujets de discussion absents… Son père décida donc de m’emmener, dans un café italien, où il est un habitué. Là-bas, je bus un chocolat chaud – un délice ! – et lui un cappuccino. Je ne sais pourquoi, mais dans ce lieu, les dialogues entre lui et moi ne s’arrêtèrent jamais ! Les sujets varièrent : la gymnastique rythmique – le meilleur sport qu’il puisse exister-, ses règles, aux Jeux Olympiques, nos vacances… Mais il ne fallait pas oublier Friederike ! Nous allâmes la chercher et rentrâmes à la maison. 

À dix-huit heures, nous mangeâmes. Enfin ! Ce n’avait été le cas depuis dix heures trente !  

Ensuite nous jouâmes à Catan, un jeu de stratégie, de commerce, et de ruse. Konstantin gagna. Il n’a pas si mal joué que ça… Mais je ne voulais rester sur une défaite, c’est pourquoi ils m’apprirent le jeu Plombier, où ce fut à mon tour de remporter la partie ! 

La soirée fut joyeuse ! Mais mon club de football préféré, le Paris Saint-Germain, jouait ce soir-là. Je suivais, régulièrement le résultat : Et un-zéro ! Et deux-zéro ! Et trois-zéro ! Et quatre-zéro ! Et cinq-zéro ! Pour le Paris Saint-Germain, bien entendu !  Je pus donc aller me coucher en toute sérénité. Bonne nuit !  Agathe.